Sans image et sans son
Ayant trouvé de nouvelles occupations depuis quelques semaines, je traîne beaucoup moins dans le panneau d'administration de mon blog ces derniers temps. C'est triste, je sais.
J'ai recommencé à me coucher à des heures raisonnables, à reprendre un rythme carré, proche de la normalité, où tout n'est que métro/boulot/frigo/dodo. Avec de temps en temps quelques interludes ménage/lessive/amour. Le troisième et dernier élément étant bien plus intéressant que les deux premiers.
J'ai redécouvert les joies du réveil de bonne heure et de bonne humeur, après une soirée toujours trop courte.
J'ai aussi renoué avec mes habitudes d'étudiante : mon Dieu, horreur, je reprends les transports en commun pour me rendre à Lutèce. Et là, chaque matin et chaque soir, je dépose mon destin entre les mains de la SNCF et me demande régulièrement quelle épopée je vais encore bien pouvoir vivre. Et là, je dois dire qu'elle m'en bouche un coin. L'aventure, c'est grâce aux voyageurs que je la vis. La SNCF, de son côté, fait plutôt bien son travail :
- Prévoir un conducteur dans chaque train - et dans le sens de la marche de préférence.
- Tenter par tous les moyens d'arriver à l'heure à bon port (Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, ce train sera finalement direct Versailles-Calais. Il ne prend plus de voyageurs. Veuillez s'il-vous-plaît attacher vos ceintures, nous allons décoller.)
- C'est tout en fait.
Les voyageurs, quant à eux, d'adonnent à des joies variées... Certains choisissent le trajet boulot-maison pour se raser. D'autres vomissent tripes, boyaux et intestins pendant la nuit, de façon à enchanter les voyageurs de la première heure, d'autres racontent leur vie à maman au téléphone et s'étonnent de ne plus capter dans les tunnels... Bref, un vrai bonheur, une variété sans nom, des tranches de vie unique.
Promis, je reviendrai hanter ces pages bloguesques avec quelques histoires croustillantes.
En attendant, souhaitez-moi bonne chance, je rentre ce soir en train.
J'ai recommencé à me coucher à des heures raisonnables, à reprendre un rythme carré, proche de la normalité, où tout n'est que métro/boulot/frigo/dodo. Avec de temps en temps quelques interludes ménage/lessive/amour. Le troisième et dernier élément étant bien plus intéressant que les deux premiers.
J'ai redécouvert les joies du réveil de bonne heure et de bonne humeur, après une soirée toujours trop courte.
J'ai aussi renoué avec mes habitudes d'étudiante : mon Dieu, horreur, je reprends les transports en commun pour me rendre à Lutèce. Et là, chaque matin et chaque soir, je dépose mon destin entre les mains de la SNCF et me demande régulièrement quelle épopée je vais encore bien pouvoir vivre. Et là, je dois dire qu'elle m'en bouche un coin. L'aventure, c'est grâce aux voyageurs que je la vis. La SNCF, de son côté, fait plutôt bien son travail :
- Prévoir un conducteur dans chaque train - et dans le sens de la marche de préférence.
- Tenter par tous les moyens d'arriver à l'heure à bon port (Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, ce train sera finalement direct Versailles-Calais. Il ne prend plus de voyageurs. Veuillez s'il-vous-plaît attacher vos ceintures, nous allons décoller.)
- C'est tout en fait.
Les voyageurs, quant à eux, d'adonnent à des joies variées... Certains choisissent le trajet boulot-maison pour se raser. D'autres vomissent tripes, boyaux et intestins pendant la nuit, de façon à enchanter les voyageurs de la première heure, d'autres racontent leur vie à maman au téléphone et s'étonnent de ne plus capter dans les tunnels... Bref, un vrai bonheur, une variété sans nom, des tranches de vie unique.
Promis, je reviendrai hanter ces pages bloguesques avec quelques histoires croustillantes.
En attendant, souhaitez-moi bonne chance, je rentre ce soir en train.